• Chapitre 26

    5 juin, 23 h

     

    Elle n’y croyait pas ! Il était là, derrière la porte, c’était insensé ! Elle avait senti sa présence presque instantanément. Ce devait être parce qu’elle n’avait pas cessé de penser à lui depuis son départ. Il était revenu pour elle, faisant fi du danger. Ainsi qu’il l’avait fait trois jours auparavant - une éternité - il fut devant elle avant qu’elle n’ait pu commander l’ouverture de la porte.

    Muets, ils se dévisageaient, n’osant encore s’approcher l’un de l’autre. Ils savaient tous deux que dès qu’ils se toucheraient, il ne leur serait plus possible de revenir en arrière. Hawk lui laissait le temps d’accepter l’inéluctable mais son corps tendu vers elle trahissait l’urgence de son désir.

    - Hawk …tu …tu es fou ! Balbutia-t-elle autant pour briser le silence qui s’éternisait que pour rompre le charme qui les retenait encore au bord du gouffre.

    - Oui mon amour, fou de toi !

    Elle s’affola. Elle voulait reculer mais ses jambes étaient de plomb.

    - Crois-tu pouvoir m’échapper indéfiniment Mary ?

    - Oui….non…je…je t’en prie Hawk, tu devrais partir…c’est trop risqué.

    - C’est encore plus risqué pour moi de résister à ça !

    Joignant le geste à la parole, il franchit enfin la distance qui les séparait et la prit dans ses bras, la serrant contre lui éperdument tandis qu’il capturait ses lèvres de sa bouche chaude et possessive, les écartait de la langue pour mieux étancher sa soif d’elle.

    Elle noua les mains sur la nuque puissante du Faucon répondant à son baiser avec une fougue égale, insoupçonnée, donnant autant qu'elle recevait. Leurs corps qui ne s’étaient pourtant aimés qu’en pensée, consumés par la même fièvre, se reconnurent, s’épousèrent, se fondirent. Celui de Blue Hawk, dur et frémissant contre le sien, lui prouvait la force de son désir d’homme. Un désir auquel ses hanches ondulantes répondaient malgré elle. Il gémissait, au bord de la folie. Son souffle rauque se précipitait. Il était en feu, elle était l’incendie. Elle brûlait et il attisait la flamme, la parcourant de caresses que ses mains lui rendaient, comme mues par une volonté propre…

    Le temps n’était plus aux mensonges. Elle ne pouvait plus se leurrer. Ce qu’elle voulait, c’était lui. L’aimer enfin, l’adorer, lui faire perdre la raison comme il la lui faisait perdre par sa seule présence. Elle l’aimait, plus que sa vie même.

    - Mary, enfin! Répondit-il, faisant écho à sa pensée.

    Et il reprit sa bouche avec plus d’ardeur encore, nouant sa langue à la sienne en un grisant duel.

    - Attends… laisse-moi… c’est mon tour …

    Dans l’ivresse du moment, ces paroles lui étaient venues naturellement. Elles traduisaient la force intacte du souvenir qui l’envahissait; balayant d’un coup ses dernières réticences. L’expérience magique sur la falaise…Cette fusion de leurs esprits qui avait fait naître de si folles images…Car elle admettait aujourd’hui que ce n’était pas seulement celui de Hawk qui avait pu les susciter mais qu’elles étaient nées aussi de son propre désir de lui, bien qu’alors elle ait refusé de le reconnaître. À présent, elle voulait lui rendre au centuple et en réalité l’intense bonheur qu’elle avait ressenti cette nuit-là en dépit de la haine féroce qu'elle s’était alors efforcée d'éprouver pour lui. La haine s'était enfuie. Elle se découvrait amoureuse, ardente, impudique.

    Elle entreprit de le déshabiller lentement, lui infligeant le pire des supplices, celui de l’attente, même si pour cela, elle devait refréner sa propre impatience. Elle sortit sa chemise de son jean, la fit glisser, subtile caresse, des ses épaules à ses bras puis sur le sol. Elle resta quelques secondes en arrêt devant cet homme superbe, musclé, immobile, tendu, crispé de désir. Pour mieux résister, il avait fermé les yeux. Ses poings serrés témoignaient de la difficile maîtrise qu’il s’imposait. Elle posa les paumes sur le torse cuivré. Il frémit mais ne bougea pas. Sous ses doigts, le cœur du Faucon battait la chamade. Elle embrassa la peau nue, juste sous le pendentif qui scintillait. Elle respirait avec délice son odeur musquée qu’aucun parfum n’altérait. Elle lécha les fines gouttes de sueur qui perlaient, titilla des lèvres et des dents les tétons sensibles, remonta vers le cou où les veines saillaient…

    Toujours silencieux et tendu à l’extrême, stoïque, Hawk attendait son bon vouloir La langue douce humide et chaude descendit le long de l’étroit sillon qui séparait les puissants pectoraux, jusqu’au nombril où elle s’attarda, mutine. Le ventre se creusa sous l’érotique caresse. À genoux devant lui, adorante, elle laissa errer sa bouche à la limite de la ceinture de cuir, là où commençait la toison noire qui continuait plus bas. Posément, elle défit la boucle d’argent…

    - Mary… Arrête…

    - Vraiment ? Fit-elle taquine.

    Les mains audacieuses poursuivirent leur œuvre. Tirant résolument sur l’encombrant vêtement, elles le firent descendre sur les hanches minces jusqu’aux chevilles, l’obligeant à l’enlever. D’un geste désinvolte, elle le lança plus loin. Le suivant prit le même chemin. Il était maintenant livré à elle, nu, magnifique. Son membre libéré de ses entraves se dressait juste à hauteur de ses lèvres. C’était tentant, irrésistible !

    Hawk tremblait. Sa respiration s’était faite haletante. Les mains enfouies dans la coulée fluide de ses longs cheveux dorés, il tentait encore de la retenir. Elle l’enserra de ses doigts et le sentit vibrer, dur et doux à la fois. Elle n’y tint plus. Il gémit quand elle le prit dans sa bouche.

    - Non…Râlait-il mais son corps enfiévré lui, parlait un autre langage et tendu, s’abandonnait à l'ivresse de ce moment unique.

    Elle le savoura lentement, voluptueusement. Il était le premier, le seul ! Elle découvrait pour lui, avec lui, son pouvoir de femme. Elle mettait dans cette intime caresse toute sa passion trop longtemps refoulée, tout son amour si obstinément nié. Le mouvement lancinant de ses lèvres, le jeu affolant de sa langue, amenèrent bientôt son amant au bord de l’explosion.

    - Mary…. arrête… pas comme çà…

    Les mains agrippées à ses cheveux, il la tirait en arrière. Elle obéit enfin, se releva lentement, semant au passage des milliers de baisers sur cette peau hâlée qui la rendait folle tandis que ses mains passaient de ses fesses dures à son dos moite puis à ses épaules et enfin à son cou dont elle embrassa la veine palpitante. Elle poursuivit son chemin jusqu’au menton légèrement piquant puis jusqu’à la bouche entr’ouverte d’où s’exhalait son souffle rauque et saccadé. Elle s’en empara alors longuement, profondément.

    Leur baiser se fit sauvage, presque violent. Tout en continuant à l’embrasser, parvenu au comble de l’impatience et du désir, Hawk la déshabilla à son tour, lui arrachant plus qu’il ne les lui ôtait, les vêtements qui faisaient encore rempart entre sa propre peau et la sienne. Elle fut bientôt nue entre ses bras et de guerrière elle devint proie. Il la souleva sans peine, l’emporta jusqu’à la chambre... Ils s’abattirent sur le lit sans cesser de se caresser des mains et de la bouche.

    - Viens… viens… Implorait Mary

    - Pas encore… Murmurait Hawk qui se mit à l’explorer du bout de la langue, lui infligeant à son tour la plus douce, la plus exquise des tortures.

    C’était à elle maintenant de gémir, de supplier.

    - Hawk… pitié…

    Il ne l’écoutait pas. Quand son souffle brûlant atteignit le creux humide de ses cuisses, ce fut elle qui empoigna ses cheveux pour le retenir.

    Mais déjà ses doigts écartaient le buisson doré…Sa bouche gourmande se posait sur elle. Sa langue cherchait, trouvait…Le bouton sensible s’érigeait contre les lèvres qui le butinaient. Attentif au moindre de ses frémissements, il s’enivrait de sa féminité comme du plus divin nectar…

    Elle se mit à crier tant le plaisir devenait fulgurant. Arquée contre sa bouche, elle hurla, délirante, quand la jouissance déferla, telle une lame de fond. À califourchon au-dessus d’elle, ivre de joie, il la regarda tandis que les spasmes du plaisir la secouaient toute entière. Les larmes s’échappaient de ses paupières closes. Ainsi abandonnée, elle était infiniment belle, merveilleusement vulnérable et si désirable qu’il sut que son désir d’elle ne serait jamais rassasié. Un désir qu’il avait fait attendre pour la mener à l’orgasme et qu’il lui fallait maintenant assouvir.

    Avec une douceur et une lenteur infinie malgré son envie de la posséder enfin totalement, il lui fit endurer un supplice égal à celui qu’elle lui avait infligé quelques minutes auparavant. Avides, ses mains, sa bouche reprirent en sens inverse le voluptueux chemin de ses courbes de déesse. Il parvint ainsi aux lèvres gonflées de baisers qu’il ouvrit des siennes. Alors, patiemment, longuement, il lui fit goûter sur sa langue la saveur un peu salée de son propre plaisir.

    - Viens maintenant, je t’en prie…viens… Gémit-elle implorante.

    - C’est la première fois mon amour je ne veux pas te faire mal. J’ai tellement envie…

    -Moi aussi chéri ! J’ai mal d’attendre…Viens, Viens, Viens !

    - Oui… Céda-t-il enfin.

    Il la pénétra d’un seul coup. Elle était prête pour lui. Il resta quelques secondes immobile, enfoui dans sa douceur, jouissant à son tour de l’attente, la faisant durer jusqu’à l’insupportable pour elle autant que pour lui.

    - Hawk… Supplia-t-elle d’une voix mourante.

    Il obéit et plongea en elle puis replongea encore et encore dans sa moiteur accueillante, amplifiant à chaque fois le mouvement puissant de ses reins. Les jambes nouées autour de sa taille, elle était totalement ouverte, totalement offerte à son désir, totalement sienne et lui était tout aussi totalement sien. Ils fusionnaient enfin, corps, âmes et esprits indissolublement liés. Ils se parlaient en silence mais les mots qu’ils se murmuraient en même temps, les gémissements qu’ils exhalaient, étaient ceux de tous les amants.

    - Oui…. oui…

    - Encore…

    Se disaient leurs bouches à l’unisson entre deux baisers.

    « C’est si bon ! Je t’aime ! »

    « Moi aussi, je t’aime à la folie mon amour ! »

    Se répétaient à l’infini leurs esprits aussi unis que l’étaient leurs corps embrasés.

    Elle s’accorda à son va et vient de plus en plus rapide tandis que le plaisir montait en eux, violent, magique. L’amour les soulevait toujours plus haut…La houle les emportait toujours plus loin. Ensemble, ils atteignirent les étoiles… Ensemble ils s’y noyèrent dans un cri d’extase et de volupté…Tremblants, trempés de sueur, souffles et membres mêlés, ils demeurèrent étendus, lui encore en elle, elle encore autour de lui.

    C’est ainsi que le sommeil les prit d’un coup, épuisés de plaisir. C’est ainsi qu’ils se réveillèrent, renaissant au désir. Elle sentit le sien s’épanouir de nouveau, plus fort encore, du creux de son intimité à la pointe de ses mamelons dressés contre le torse de Hawk. Elle sentit celui de son amant frémir, se tendre à nouveau dans son ventre. Aucun mot ne fut nécessaire. Lentement, presque religieusement cette fois, ils refirent l’amour, savourant en gourmets chaque seconde de cette paisible étreinte. Quand ils eurent abordés une nouvelle fois aux rivages de l’extase, ils ne purent se résoudre à se déprendre et restèrent imbriqués l’un dans l’autre.

    Le réveil les retrouva toujours aussi affamés d’amour. Hawk la fit glisser au-dessus de lui Ses mains chaudes sur les hanches de Mary, il était prêt pour un troisième et fabuleux voyage. Elle aussi mais elle voulait qu’il soit encore plus beau que les précédents. Elle attendit donc, exacerbant le désir du Faucon, tempérant la frénésie qu’elle sentait renaître en elle à le voir ainsi captif, soumis à sa volonté.

    Le regard bleu se troublait, se faisait suppliant. Au fond de son ventre le sexe dur palpitait…Pour profiter mieux encore de cette merveilleuse sensation de plénitude, sans bouger le reste de son corps, elle se resserra autour de lui puis se desserra et se resserra encore et encore, le rendant fou…Un râle sourd s’échappait de sa gorge… Il se retenait, gémissait, implorait …

    - Mary…Ô Mary…Je n’en peux plus…Fais-moi l’amour… Je vais mourir…

    Alors commença la course folle, le galop endiablé de la cavalière et de sa monture cabrée vers la jouissance qui les prit tous deux ensemble pour la troisième fois.

    Ils dormirent peu. L’aube vint trop vite pour les amants éblouis.

    Hawk devait repartir. C’était un crève-cœur pour lui comme pour elle. Ils savaient pourtant tous deux que c’était nécessaire. Le désespoir de le quitter se doublait pour Mary de la crainte ravivée qu’elle éprouvait pour lui. Elle n’ignorait pas que lui et les siens étaient activement recherchés et cela suffisait à l’emplir de terreur. Ce qu’elle réalisait soudain le cœur serré d’appréhension, c’est qu’elle aussi désormais, courait le plus grand des dangers car non contente d’être à moitié Mutante, autant dire totalement anormale aux yeux de la Loi, elle aimait le leader de la secte maudite entre toutes.

    La simple idée de le perdre alors qu’elle venait à peine de le trouver…

    - Tu ne me perdras pas mon amour ! Nous serons bientôt réunis ! Répondit-il à son inquiétude.

    - Tu ne peux vraiment pas rester ?

    - Tu sais bien que non ! Une lourde tâche m’attend, je n’ai pas le droit d’ignorer la mission que ton père m’a léguée en mourant Mary. Même si je ne sais pas encore exactement où tout cela mène, je sais que je suis le Rassembleur et que c’est à moi de réunir tous les nôtres. En attendant ce jour, nous avons tous deux des problèmes urgents à régler.

    - Mais pourquoi devez-vous vous rassembler ?

    - Nous rassembler ! Les Mus et les Élus dont tu es Mary, ne l’oublie pas ! Nous devons encore retrouver tous ceux qui ne se sont pas fait connaître, disséminés de par le monde. Chacun de nos Rassemblements rituels les voit de plus en plus nombreux sortir de l’ombre et chaque fois, notre pouvoir commun s'en renforce. Là non plus, nous ne savons pas pourquoi, mais c’est ainsi. Pour nous, le proverbe « L’union fait la force. » prend tout son sens. Le jour viendra où nous serons enfin tous réunis pour accomplir cette fameuse mission dont nous ignorons encore la teneur. Bien que pour ma part, je commence à l’entrevoir.

    - Comment ?

    - J’ai parfois des flashes dont je ne m’explique pas la provenance. Peut-être font- ils partie de l’héritage de ton père ?

    - Que vois-tu ?

    - Je ne peux te le dire, c’est trop imprécis. Il m'arrive cependant de percevoir plus que de voir réellement, une ombre malfaisante penchée sur moi, sur nous tous. Une ombre qu’il nous faudra dissiper sous peine de mourir…

    - Dieu ! Tu me fais peur !

    - Il ne faut pas que tu aies peur pour moi. Allons mon amour, cette fois, il va vraiment falloir que j'y aille

    - Et moi, quels problèmes ai-je à régler pendant ton absence ?

    - Hubert tout d’abord. Tu dois lui dire la vérité pour nous deux non ? Et le reste aussi !

    - Je… C’est difficile !

    - Tu le lui dois, tu nous le dois mon amour !

    - Bien ! Et c’est tout ?

    - Non ! J’aimerais aussi que tu parles à tes amis, que tu leur fasses comprendre qui nous sommes. Ni des monstres ni des anormaux ni des suppôts de Satan ni de dangereux sectateurs comme l'étaient ces fous illuminés qu’on appelait les Maîtres de l’Apocalypse.

    - Mais…

    - Alexeï est prêt à entendre la vérité. Il en a déjà vu beaucoup sans te retirer son amitié. Hubert risque d’être plus difficile à convaincre cependant je pense que son amour pour toi l’y aidera. Quant à Jézabel…

    - Nous sommes en froid !

    - Elle n’attend qu’un geste de ta part ! En elle et sous des dehors pragmatiques, se cache une grande sensitive. De plus, elle est dotée d’une insatiable curiosité scientifique je le sais, je l’ai sondée à son insu. Elle saura faire la part des choses. Sais-tu qu’elle rechigne à utiliser les méthodes préconisées par l’OMS ?

    - Comment ça ?

    - Jamais elle ne prescrit à ses patients le moindre médicament inutile, ainsi et sans même en avoir vraiment conscience, elle ne favorise pas la prise de ces fameuses substances qu'ils contiennent immanquablement tous, comme nous te l'avons appris, rappelle-toi. Des substances qui conditionnent et entretiennent la « normalité » comme ils disent. Il serait bon qu’il y ait plus de thérapeutes comme Jézabel Beauregard, car aujourd’hui et sur l’ordre de l’OMS, l’usage de ces psychotropes déguisés en médicaments inoffensifs, s’intensifie dangereusement ! Tu crois prendre un antalgique contre la migraine alors que tu avales à ton insu une saloperie qui te rend malléable et perméable à toutes les suggestions qu’on souhaite implanter dans ton cerveau !

    Elle savait désormais qu’il disait vrai, pourtant elle avait encore bien du mal à digérer le fait qu’elle aussi avait été conditionnée de cette insidieuse façon durant des années.

    Elle se rappelait avec une indicible horreur qu’à chaque fois qu’elle avait pris des anti-D, il n’y avait pas si longtemps de cela encore et à cause de lui de surcroît, elle s’était un peu plus enfoncée dans l’abêtissement. Heureusement, elle en était sortie à présent. Il avait raison. Elle allait convaincre ses amis qui, elle l’espérait, feraient de même avec d’autres. Comme Antonio avait guéri les Lobos du camp australien, elle et ceux qu’elle gagnerait à sa cause, guériraient leurs semblables lobotomisés en quelque sorte, tout comme elle l’avait elle-même été, par le plus acéré des scalpels : la peur.

    - Et Surprise ? Tu ne m’en as pas parlé.

    - Du fait même de sa grossesse, ton amie est actuellement extrêmement fragile et par conséquent, particulièrement conditionnée. Je crains donc qu’elle ne soit très réticente et je pèse mes mots ! Sois prudente mon amour ! Parfois, le danger vient d’où on l’attend le moins. Bien ! Cette fois, il faut vraiment que je parte. Mes amis s’impatientent dehors ! À bientôt ma douce, je t’aime !

    - Je t’aime Hawk ! Sois prudent toi aussi !

    Ils s’enlacèrent, désespérés de devoir se quitter si vite. Il l'embrassa passionnément puis la laissa étourdie et prostrée sur le pas de la porte.

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 23 Octobre 2022 à 20:04

    Ah, un peu, beaucoup, passionnément... ;-) amitiés, JB

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