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    les 8 mots : Anecdote, frimousse, récit, avant, journal, surprise, lire, voir.

    Ou Un texte thème Humour.

     

    ***

    J’aime faire l’humour !

    Pour vous qui me lisez, serait-ce une surprise ?

    J’aime en voir, j’aime en lire, de ces récits qui nous font rire.

    Histoires drôles et anecdotes croustillantes, blagues à deux balles  et calembours

    Ah oui, j’aime l’humour !

     J’aime tout ce qui déride ma frimousse, bien plus que ne le font les nouvelles moroses du journal télévisé quotidien !

    Mais comme vous le savez, avant toute chose, humour bien ordonné, commence par soi-même.

    En conséquence de quoi, comme de bien entendu, je préfère et de beaucoup,  rire de moi  plutôt que de me moquer  des autres.

     

    Moi  je

     

    Moi je, moi je, moi je

    Suis une véritable amie,

    Quelqu'un de simple et de gentil,

    Jamais, jamais, je vous le dis

    Je ne fais de mal à autrui !

    Truie ou cochon qui s'en dédit !

     

    Moi je, moi je, moi je

    Ne me mets jamais en pétard.

    Moi je suis sourde aux racontars

    Des cancaniers et des vantards

    Et ce n'est pas un canular,

    Juré, craché, foi de canard !

     

    D'ailleurs moi je, moi je

    Ne suis qu'une chouette très chouette.

    Jamais je ne me prends la tête,

    Ne crache au nez de qui m'embête,

    Ce n'est pas digne d'un poète

    Nom d'un chat noir en salopette

    Saperlipopette !

     

    ©A-M Lejeune

     

     

     

     

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    les 8 mots : feuille, frileux, force, frêle, poser, prendre, avoir, courir.

    Ou/et/ le thème : au moins 5 mots commençant par " cou", dans un petit texte.

    ***

    Le temps qui court…

     

    Dans le jardin les arbres nus

    Ont oublié  toutes leurs feuilles ;

    Le soir qui tombe nous endeuille,

    Déjà les oiseaux se sont tus…

     

    Frileux ils sont tous à couvert.

    Fragile et frêle une mésange,

    Se pose encore telle un ange ;

    J’en oublie le froid de l’hiver.

     

    Et j’en oublie le temps qui court,

    Qui brûle  tout jusqu’à l’écorce

    Qui prend nos vies, vole nos forces

    Ne nous laissant aucun recours !

     

    Coulent les heures, les saisons

    Sous nos pieds le temps coupe l’herbe

    Et même s’il nous exacerbe

    Coûte que coûte il a raison.

     

    ©A-M Lejeune

    (Image du Net)

    Le temps qui court...

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    J'ai choisi les 8 mots : Moment, chose  corps, sort , chauffer, imaginer, raconter, abriter.

    Plus un petit bonus ....

    Atelier N° 107 de Ghislaine

     

    Une panne pas nette !

     

    Il y a de ces moments de disette d’inspiration, où raconter la moindre historiette devient une gageure !

    On peut toujours sabriter derrière  un mal de tête soudain, ou jurer avoir été interrompu par le coup de sonnette insistant d’un visiteur impromptu, juste au moment où l’on commençait à peine à imaginer la trame du récit plein de mots en « ette » que l’on était prête à inventer  pour l’atelier d’une très chouette amie !

    On peut aussi  prétexter une muse en goguette qui préfère faire la fête que de venir encrer votre plume et s’ancrer sur votre page !

    Ou encore, évoquer le mauvais sort qui s’acharne sur vous, ne cessant de mettre des bâtons dans les roues de votre bicyclette…

    Oupsss ! Que vient donc faire une bicyclette ici ! Quelle boulette ! Ma parole, je perds la boule !

    Allons, allons ! Mensonge, sors de ce corps !  

    Faisons place nette à la vérité et remettons les choses à leur juste place !

    J’ai eu beau  faire chauffer mes neurones à ébullition maximale, rien  de bon n’est sorti de ce bouillon d’inculture !

    Pour le coup, j’ai vraiment mal à la tête ! C’est bête hein !

     

    08-10-2019

    An'Maï-Mistic

     

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    Faire un texte avec au moins 5 mots se finissant par "" ant ""

     

     Un défi palpitant, intéressant, stimulant !

    Rêves d’enfant

     

    Je n’étais qu’une enfant

    Et j’allais droit devant,

    Je marchais nez au vent

    D’un pas lent, nonchalant.

    Mes rêves de géant

    Et mon cœur insouciant

    Me portaient en avant…

    Mais le temps est méchant !

    Il mord à pleines dents.

    Passent,  passent les ans…

    Tu l’avais dit maman : 

    L’heure tourne au cadran !

    Mon beau prince d’antan

    N’est plus aussi charmant,

    Il a les cheveux blancs !

    Et mes rêves d’enfant

    Se meurent à présent

    Dans les sables mouvants.

     

    20/08/2019

    ©A-M Lejeune

    ***

    A l'intention de Martine Martin, la version positive :

     

    Je n'étais qu'une enfant

    Et j'allais droit devant. 

    Je marchais nez au vent

    D'un pas lent, nonchalant.

    Mes rêves de géant

    Me portaient en avant...

    Tu l'avais dit maman :

    Passent,passent les ans,

    Les jours vont, défilant,

    L'heure tourne au cadran,

    Mais je reste pourtant

    La rêveuse d'antan

    Qui se moque du temps

    Et des beaux cheveux blancs

    De son Prince Charmant.

    Mes doux rêves d'enfant

    Scintillent à présent,

    Souvenirs émouvants.

    20/08/2019 (11 h 09)

     

    ©A-M Lejeune

     

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    Les 8 mots : Sonate, requiem, concerto, allegro, fugue, suite, ouverture, jouer.

    Histoire d'une rébellion

    Rébellion

     

    Par une aurore étrange de brume voilée

    Les notes une à une se sont envolées.

    Une dernière fugue, un grand battement d’ailes

    Vers le ciel allegro, ont fui les sept rebelles.

     

    Le La fut le premier. C’est lui, haussant le ton

    Qui incita  les autres à la rébellion

    - Je ne supporte plus de faire l’ouverture

    La vie à la baguette est devenue trop dure !

     

    -Et nous donc, à ta suite, a renchéri le Do

    Nous sommes obligés de marquer le tempo

    -Arrête  dit le Ré, je crois que tu radotes

    A se la jouer râleur, on finit fausse note !

     

    Le Mi,le Fa, le Sol, n’osaient prendre parti,

    Ils attendaient du Si, qu’il donne son avis.

    Il hésita un peu, puis dit : « Adieu sonates,

    Symphonies, requiem, concertos et cantates…

     

    Et voilà, c’est fini, murmurent les soupirs

    Clé de Sol ou de Fa, n’ont plus rien à ouvrir !

    Sans notes,  la musique n’est plus que silence.

    Plus un seul chant d’oiseau, plus aucun pas de danse…

     

    Les partitions désertes gisent oubliées,

    Attendant  que reviennent les sept évadées.

    Je guette moi aussi le grand battement d’ailes

    Qui rythmera, joyeux, le retour des rebelles.

     

    15-08-2019

    ©A-M Lejeune

     

     

     

     

     

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