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    Les bizarreries de la langue française

     
     
    Vous avez probablement déjà eu l'occasion de lire ce texte qui expose certaines particularité de notre belle et riche langue :
     
    - Le plus long mot palindrome de la langue française est "ressasser". C'est-à-dire qu'il se lit dans les deux sens.
    - "Institutionnalisation" est le plus long lipogramme en "e". C'est-à-dire qu'il ne comporte aucun "e"
    - L'anagramme de "guérison" est "soigneur". C'est- à -dire que les deux mots comprennent les mêmes lettres.
    - "Endolori" est l'anagramme de son antonyme "indolore", ce qui est paradoxal.
    - "Squelette" est le seul mot masculin qui se finit en "ette".
    - "Où" est le seul mot contenant un "u" avec un accent grave. Il a aussi une touche de clavier pour lui seul.
    - Le mot "simple" ne rime avec aucun autre mot. Tout comme "triomphe, "quatorze, "quinze", "pauvre", "meurtre", "monstre", "belge", "goinfre" ou "larve".
    - "Délice", "amour" et "orgue ont la particularité d'être de genre masculin au singulier et ils passent au féminin à la forme pluriel. Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l'amour au pluriel. C'est ainsi !
    - « Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x] .
    - "oiseau" est aussi le plus petit mot de la langue française qui contient toutes les voyelles.
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    Le mot « simple » ne rime avec aucun autre mot. Tout comme « triomphe », « quatorze », « quinze », « pauvre », « meurtre , « monstre », « belge », « goinfre » ou « larve ».
     
    Ce passage en particulier; n'est pas le plus simple, pour qui aime les rimes, que les vers soient de douze, quatorze ou quinze pieds ! Ces monstres de mots qui font de moi, poète à mes heures et goinfre de rimes les plus riches possibles, une pauvre larve privée de sa nourriture, ces mots-là donc, me donneraient presque des envies de meurtre, contre eux et eux seuls bien sûr !
    Plus aucun mot qui n'aurait sa rime.
    Ce serait mon triomphe. le mien et celui de tout poète qui se respecte, qu'il soit français, belge ou québécois, pour ne nommer que ces francophones avérés.
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